Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (56)

C’est au casino que j’ai emmené mes amis.
Fabienne a disparu et je la retrouve à l’extérieur dans une voiture se faisant baiser par un immense black.

• Comment t'a-t-il dragué ?
• Je jouais sur une machine à sous et j’ai senti quelque chose de dur sur mon postérieur, j’ai cru que c’était Christian.
J’ai entendu une voix me demandé, si je voulais gagner quelques billets. Je suis resté stoïque.
L’homme m’a dit, je viens de gagner pas mal d’argent. Cinq cents euros pour baiser avec toi.
Si tu es d’accord, suis-moi.
Puis d'un seul coup la présence a diminué sur mon cul.
Je me suis retourné et la seule personne assez rapprochée pour être l’homme m’ayant proposé cinq cents euros, il était grand et noir.
J’ai hésité, mais j’ai pensé qu’un homme de couleur pouvait être une bonne expérience, car j’ai toujours entendu dire que, souvent ils sont bien membrés. Je l’ai suivi.
Une fraction de seconde, j’ai pensé à toi et que tu serais fière d’avoir une élève comme moi après ce que j’ai fait subir aux autres.
Il s’est dirigé sur le siège passager et je suis monté siège conducteur. Il avait déjà sorti sa queue et jouait avec.
Presque aussi grosse que mon avant-bras. Une énormité à mettre dans ma chatte. Mais l’envie a été plus fort, je l’ai enfourchée. Je t’assure que j’ai eu du mal à le faire entrer dans ma vulve. Je l’ai senti monter à l’intérieur de mon vagin.
Je pense qu’il m’a touché l’utérus. Je l’ai fait coulisser et quand j’ai senti qu’il allait éjaculer. Je me suis dégagé et j’ai tout récupéré au fond de ma gorge. J’ai eu du mal à avaler les cinq à six giclées qu’il m’a envoyées. Il m’a payé, et je suis là.
• Très bien, mon cœur, ce soir tu es devenu une vraie pute. La seule erreur que tu as commise, c’est qu’une pute doit toujours se faire payer avant la passe.
Qu’aurais-tu fait s’il avait refusé de te payer ?
Pas de fric pas de baise.


• Merci mon cœur de ces bons conseils.

Nous rentrons rejoindre les autres. Ils sont toujours au bar. Fabienne vient près de Christian, elle lui parle, mais sa main dans son chemisier et place l’argent dans la poche de son homme.
Il l’embrasse et semble l’encourager.

Nous passons à la caisse pour récupérer l’argent dans nos boîtes et reprenons la route de Saint-Palais.

Résultat de la soirée, positif grâce aux petites et leurs vingt-huit mille euros.
Un dernier verre, sur la terrasse et au lit, demain sera une journée avec le voyage à La Rochelle.

Je monte avec mes bouchons au dernier étage.
Nous nous serrons l’une contre l’autre. Aline toujours espiègle descend à mes lèvres intimes qu’elle lèche consciencieusement.
Anne, souhaitant être de la partie, gobe la vulve de sa jumelle, tout en me présentant son intimité. Nous reformons dans ce lit l’anneau magique de l’amour. Je porte une de mes mains sur la poitrine de l’une, l’autre sur celle de l’autre.
J’adore leurs petits tétons qui ont le même galbe et le même volume.
Ils réagissent, car la framboise qui les termine double de volume.
Nos bouches sont si actives que nos chattes font ruisseler dans nos bouches le nectar qu’elles sécrètent. Je m’en délecte au point que la petite que je suce démarre sa jouissance, qui fait démarrer celle de sa sœur et qui entraîne la mienne.
L’anneau d’amour est devenu l’anneau de jouissance.
Nous nous endormons après une journée bien remplie.

Le matin, nous nous retrouvons ensemble au petit déjeuner. Nous organisons notre journée entre les courses au marché, la plage ou les transats. Sindy nous a rejoints et joue dans son parc. Je prépare notre voyage à La Rochelle en faisant le plein de ma voiture.

Vers dix heures, nous entendons un bruit de portière, Madeleine apparaît avec Virginie.
Leurs yeux nous montrent l’état de fatigue des turpitudes de leur nuit.
Elles ont dû tomber sur un chaud lapin.
Madeleine souhaite prendre une douche, je l’accompagne.
À l’étage, elle se met nue et entre sous la douche. Je la savonne, la rince et l’essuie consciencieusement. Je n’oublie aucun centimètre de sa peau. J’écarte ses lèvres intimes et j’embrasse ses chairs tendres.

• Comment cela c’est passé mon cœur ?
• Quand nous étions en chemin, Virginie m’a expliqué que l’homme que j’allais rencontrer était un de ses plus vieux clients.
Une à deux fois par an, elle le voit toujours aux alentours de la ville de Saintes.
Comme il a un travers qui fait fuir toutes les filles seules Virginie accepte de le prendre comme client car en bonne professionnelle, elle a toujours fait table rase de cette particularité.

Je m’interroge, il est borgne, il a une jambe de bois.
• Évite de stresser Christine, attend que nous arrivions dans sa chambre.
• Virginie m’a emmenée au numéro de la porte prévu dans le contrat. Valérie et Diana entrent dans la chambre comme tu le sais puisque nous changeons nos prénoms.
La chambre est spacieuse et très lumineuse grâce à une immense baie vitrée.
Bernard nous embrasse et surtout Valérie.

• Pute…

• J’ai bien entendu, il vient de dire pute à Valérie. Il nous invite à nous mettre à l’aise. Il nous donne les enveloppes salaire de notre labeur.
Il est lui-même avec un peignoir qu’il enlève prestement.
Bien foutu le monsieur avec tous ce qu’il faut là où il faut.
Pas d’œil de verre. Pas de jambes de bois. Dévêtu et pressée de montrer à Valérie que je suis prête à assumer, je me baise pour lui gober le membre. Il me laisse faire.

• Salope, putain de salope…

• Là j’ai bien entendu, c’est surprenant, un homme si bien mis, sortant des insanités au visage d’une dame qui lui suce la queue. Tout en le suçant, je regarde Valérie qui derrière Bernard a un large sourire.
Plus ma main le branle en le suçant, plus il me déverse des mots orduriers.


• Garce, mal-baisé, pas baisé, tu es faite pour te faire enculer, tu es une pute qui doit apprendre son boulot. Tu vas te tirer.

• Je lui lâche le sexe comme il me le demande. Il m’empoigne la tête et me remet son vit dans la bouche.

• Tu vois que tu n’ais pas digne de sucer ma belle bite, une vraie salope sucerait mieux que toi.

• Pendant tout le temps que je l’aie pompé, il a déversé sur moi des tombereaux d’insultes et de boues.
Au début, j’ai été choquée, mais la tige qui enflait à mesure qu’il m’insultait m’empêchait de me révolter. Valérie décide de rentrer dans la ronde. Elle s’agenouille. Je lui laisse la place et il repart.


• Toi aussi, tu es une pute, je te l’ai assez dit depuis que tu viens me sucer la queue et te faire baiser.
T’es toujours au-dessous de tous, depuis que je te dis de m’amener une vraie baiseuse pas ce petit boudin aux gros seins.
Je t’ai dit des petites aux petits seins.

• Ces insultes personnelles sur ma personne et mon physique me vont droit au cœur et j’ai un mouvement de recul, Valérie le sent et me met la main sur l’épaule pour me calmer.

• Elle est incapable de me faire jouir cette cochonne avec son gros-cul. Je te le dis toutes les fois, fait un régime, j’aime que les petits culs. Tu espères que je ne t’encul………… que…

• Et il emplit la gorge de Valérie.
Monsieur récupère son peignoir et part vers la salle de bain.
Valérie m’entraîne vers le lit où nous tombons.
Elle me prend dans ses bras et dans mon oreille me demande si j’ai compris le problème qui gâche sa vie.
Chaque fois qu’il a eu une femme dans sa vie, le flot d’injures que sa bouche déverse sur la femme finie par la faire fuir.
Avec nous les escortes, il espérait trouver la solution, mais même certaines d’entre nous ont de la peine à le supporter.
La première fois que je l’ai rencontré, j’ai failli, moi aussi détaler.

Coup de chance pour lui, je venais de prendre des engagements financiers et j’avais vraiment besoin de cet argent.
Attends la suite, tu verras pourquoi il est toujours mon client.

Bernard tout propre réintègre la chambre.

• Et à part cela Valérie, comment allez-vous ?
• Bien mon ami surtout quand je vous rencontre.
• Vous savez que je ne fais l’amour que, quand mes moyens me permettent de vous faire venir.
Et votre institut, Valérie commence sa marche.
• Bien elle se développe. Je viens d’acheter l’étage supérieur et je compte y installer de nouveaux appareils pour les soins corporels de ces dames. Je suis content d’apprendre que tout va bien pour vous.
• Avez-vous faim ?
Un en cas serait le bienvenu.

Il décroche, le téléphone passe une commande pour trois personnes de divers amuse-gueules, accompagnez avec des boissons non alcoolisées.
Et il raccroche.

• Mademoiselle Diana, si vous acceptez de me le dire, qu’elle est votre activité.

Je regarde Valérie.

• Elle fait office de gouvernante dans mon pavillon en banlieue parisienne. Mieux même c’est plutôt une dame de compagnie pour moi.
• Tel que je vous connais Valérie et connaissant votre amour pour les jolies femmes, quand je vois la plastique et surtout la majesté des seins de Diana, je suppute que vous devez apprécier de donner du plaisir à cette jolie gazelle.

J’y comprenais plus rien, il y a une minute, il me traitait presque de grosses vaches imbaisables, et maintenant je suis une jolie gazelle !

• Pour mon plaisir Valérie vous qui savez que je suis un fusil à coup éloigné, voulez-vous avec votre amie me donner un petit échantillon des amours saphiques avec la belle Diana ?
• Bien sûr, Bernard, nous sommes là pour satisfaire tous vos désirs…

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